Paris 9ème : Foncière Renaissance cède en off-market le 48 rue de Provence
Dans le cadre de sa stratégie value-add, Foncière Renaissance a cédé à un utilisateur le 48 rue de Provence dans le 9e arrondissement de Paris. Cet immeuble d’angle, acquis en décembre 2019, est composé de six niveaux, dont un niveau de sous-sol pour une surface globale de 1 840 m².
L’immeuble a été vendu gros œuvre achevé, l’acquéreur conservant la réalisation du second œuvre afin d’y intégrer ses besoins propres.
La restructuration de l’actif vise à assure r la mise aux normes du bâtiment en matière d’accessibilité (déplacement de l’entrée principale à l’angle du bâtiment, création d’un ascenseur PMR), d’hygiène et de performance énergétique (changement des huisseries et du système de chauffage/climatisation), la valorisation des sous-sols pour en faire des salles de réunion et des espaces communs et de la cour intérieure
À l’issue des travaux, le 48 Provence vise une labellisation Breeam Very Good.
« Cette opération, portée sur 24 mois, rentre parfaitement dans la stratégie value-add de Foncière Renaissance visant à sourcer des actifs parisiens à repositionner dans des localisations prime ou à fort potentiel », indique Julien Laclie, directeur associé de Foncière Renaissance.
« Cet immeuble bénéficiait de toutes les qualités intrinsèques pour séduire les utilisateurs. Le projet de restructuration mené par le Studio Vincent Eschalier a permis d’inscrire le 48 Provence dans les actifs premium de la zone en conservant le cachet du bâtiment tout en repensant les volumes intérieurs et en intégrant des prestations répondant aux nouveaux usages de bureaux », poursuit Éric Bendavid, président fondateur de Foncière Renaissance.
Dans cette opération, Foncière Renaissance a été accompagnée par l’étude Strock et Associés (notaire), Socfim (financement), Studio Vincent Eschalier (architecte), Sato (AMO/BET), Deloitte Taj (fiscal), Ginkgo Avocats (urbanisme). La transaction a été réalisée par le département vente utilisateurs de BNP Paribas Real Estate (Jesse Cassuto).
